Confiance et espoir

« Je veux restaurer la cohésion et l’égalité des chances. La famille doit être défendue dans ses valeurs et ses moyens. Une société plus solidaire proscrit les inégalités entre les hommes et les femmes. Elle combat la pauvreté et l’exclusion. C’est une société qui rémunère plus le travail et soutient les retraités »… Dans son projet pour la France, François Fillon offre sa vision des solidarités familiales, institutionnelles et de proximité. « La purge, la détresse sociale, le manque de perspectives, c’est maintenant que nous les avons ! » constate-t-il à raison. 6 millions de chômeurs, 9 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, 2200 milliards de dette (dont 160 milliards de dette sociale détenue à 94% par des investisseurs étrangers !), tel est en effet le triste bilan de cette gauche pourtant si prompte à donner des leçons de morale et se draper dans l’étendard de l’égalité. Car ne lui en déplaise, avant de partager la richesse, il faut s’appliquer à la créer. C’est précisément l’ambition forte et déterminée de François Fillon qui fait du plein emploi sa priorité. Le chômage n’est il pas la première des inégalités sociales ? Pour l’éradiquer, celui qui a prouvé sa capacité à réformer et tenir bon dans la tempête a son plan de bataille.

Car oui nous sommes en guerre contre le chômage de masse qui frappe toutes les familles, les jeunes, les séniors, les personnes handicapées ! Relever les lourds défis qui sont devant nous dans les domaines de la santé, de l’autonomie, du handicap impose d’engager les réformes nécessaires et courageuses.
La démagogie, l’irresponsabilité et les demi mesures ne sont en définitive d’aucun secours. Seule une volonté forte, des objectifs réalistes, une méthode éprouvée, permettront d’obtenir des résultats. Prenons l’exemple de la lutte contre la pauvreté. François Fillon a annoncé le vote d’une loi de programmation d’ici la fin de l’année. Cela passera par l’élaboration d’un diagnostic partagé avec l’ensemble des acteurs, et ils sont nombreux, des services de l’Etat aux associations caritatives, en passant par les collectivités locales. Cela se poursuivra par la rédaction d’un texte de loi cadre assorti de moyens pérennes, débattus au Parlement, dans un esprit, souhaitons le, transpartisan. Cela se prolongera enfin par la mise en oeuvre concrète, dans les territoires, de mesures fortes et le soutien aux initiatives engagées par les forces vives locales en prenant soin d’associer les personnes souffrant d’exclusion elles-mêmes. Liberté et autorité. Ces moteurs de l’action de François Fillon collent parfaitement aux enjeux de solidarité. Nul doute que ce Gaulliste social trouvera là le moyen d’exprimer sa sincère humanité.